Le monde du commerce bouge vite. Très vite. Ce sont les attentes des consommateurs qui en sont le moteur, mais aussi les préoccupations environnementales qui s’imposent dans le quotidien. En 2025, deux grandes tendances s’affirment nettement : les pop-up stores, devenus de vrais terrains de jeu pour les marques, et le zéro déchet, qui n’est plus une option mais un engagement fort. À l’école de commerce AFTEC Vannes, ces sujets prennent vie dans les formations, notamment en BTS MCO.
Un format éphémère qui transforme l’expérience client
Les pop-up stores, ce sont ces boutiques temporaires qu’on voit surgir un peu partout, le temps d’un événement, d’un lancement ou d’un test. Leur succès ne faiblit pas. D’ailleurs, une enquête Popai France de mai 2024 montre que 70 % des enseignes y voient un vrai levier pour tester une idée ou une gamme, sans s’enfermer dans les contraintes habituelles d’un bail commercial.
Pour un étudiant en BTS MCO, rien de plus parlant. Être confronté à ce type de format, c’est comprendre comment, en quelques mètres carrés et quelques jours, une marque peut proposer une expérience marquante, voire inoubliable. À AFTEC Vannes, les projets autour des pop-up stores ne manquent pas. C’est du concret, du terrain, et surtout une manière très directe d’apprendre à gérer, vendre, communiquer et s’adapter à une clientèle de plus en plus exigeante.
Une demande consommateur de plus en plus éco-responsable
On ne parle plus seulement d’écologie, on agit. Le zéro déchet s’invite désormais dans les habitudes d’achat. Et ce n’est pas qu’un effet de mode : en 2024, selon Ipsos, 73 % des Français déclarent privilégier les circuits courts et les produits sans emballage superflu. À l’échelle mondiale, les commerces zéro déchet ont généré 1,2 milliard de dollars en 2023, et les prévisions annoncent une croissance de +10 % chaque année jusqu’en 2030.
À AFTEC Vannes, les étudiants en BTS MCO ne se contentent pas d’étudier cette réalité dans des livres. Ils la vivent. Ils participent à des ateliers, partent en stage, ou planchent sur des cas pratiques où il faut repenser tout : la logistique, les emballages, l’offre, l’espace de vente. Autant de défis qui leur donnent des clés pour intégrer la transition écologique dans le commerce d’aujourd’hui.
Préparer les métiers d’aujourd’hui et de demain
Aujourd’hui, vendre un produit, ce n’est plus suffisant. Il faut raconter une histoire, créer un lien, comprendre les valeurs de son client. Le BTS MCO à AFTEC Vannes prépare précisément à cela : conjuguer savoir-faire commercial et intelligence relationnelle.
Avec les nouveaux formats comme les pop-up stores et la montée du zéro déchet, le profil du manager commercial évolue. Il faut être curieux, souple, innovant, mais aussi garder la tête froide sur les objectifs. C’est cet équilibre que les étudiants apprennent ici, à travers des cours mais aussi beaucoup de mises en situation réelles.
Une école de commerce tournée vers l’engagement
Ce qui fait la force d’AFTEC Vannes, ce ne sont pas seulement ses formations. C’est une philosophie : ici, l’humain est au centre, et l’engagement est une boussole. Tout au long de leur BTS MCO, les étudiants sont plongés dans des projets collectifs, accompagnés dans leurs démarches, et encouragés à s’impliquer localement.
Les parents y trouveront une formation sérieuse, encadrée, qui prépare leurs enfants à être rapidement opérationnels. Les jeunes, eux, y découvriront un cadre dynamique, vivant, où ils peuvent prendre leur place, s’exprimer, tester, et apprendre autrement.
Une porte d’entrée vers un commerce plus durable
Non, les pop-up stores et le zéro déchet ne sont pas des lubies passagères. Ils reflètent une transformation plus profonde du commerce : plus agile, plus responsable, plus humain. C’est ce virage que les étudiants du BTS MCO apprennent à prendre, dès aujourd’hui.
À AFTEC Vannes, on mise sur l’action. Chaque étudiant est encouragé à concrétiser ses idées, à prendre des initiatives, à explorer ce que le commerce peut être demain. Qu’ils choisissent l’univers des grandes enseignes, des start-ups, ou qu’ils se lancent eux-mêmes dans l’entrepreneuriat, ils auront les outils pour faire face aux enjeux actuels, qu’ils soient économiques, écologiques ou humains.