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Les étudiants prennent la parole...

 

AFTEC LAVAL

Les étudiants valident un parcours de formation professionnalisant

 
Chaque année Aftec Laval accueille des centaines de nouveaux étudiants en BTS ou Bachelors.
Les Jeunes en formation optent aussi bien souvent pour l'alternance, voie royale vers l'employabilité.
Voici quelques retours d'expériences de nos étudiants Aftec - Ipac Bachelor Factory...
 

Entretien avec Lucie Pechon, Marion Mouzer, Marjorie Cormier et Pauline Coubard,

étudiantes en Bac+3 Ressources Humaines à Laval 

 

Quel a été votre parcours avant d’intégrer notre école ?
Lucie : J'ai obtenu un Bac ES puis une Licence 2 mention Droit et Sciences Politiques à la Faculté de Rennes 1.
Marion : Après l'obtention d'un BAC STG option MERCATIQUE, j'ai suivi une formation BTS MUC.
Marjorie : Après l'obtention d'un Brevet et d'un Bac pro secrétariat-compta option secrétariat, j'ai suivi une première année de BTS AG à l’ISCAL (changement de parcours car mon orientation ne me plaisait pas).
J'ai ensuite démarré un BTS NRC à l’Aftec, en alternance, au sein de l'entreprise COMUNIKA (agence de communication) pendant 1 an, puis chez IMPRIM’SERVICES (imprimerie - agence de communication). J'ai obtenu mon BTS en 2014.
 
Pourquoi avoir choisi Aftec - Ipac Bachelor Factory ?
Lucie : Au départ par un heureux hasard puis, pour les cours, les formateurs et surtout pour suivre une formation certifiée RNCP.
Marion : J’ai choisi AFTEC en raison de sa notoriété.
Pauline : Parce que je voulais accéder à une formation délivrant un titre (certification) qui soit entièrement reconnu.
 
Que vous apporte votre formation ?
Lucie : De nombreuses connaissances qui sont aussitôt appliquées en milieu professionnel et l’assurance de trouver un emploi par la suite.
Marion : Des cours théoriques indispensables à une formation en RH et une expérience à travers le stage.
Pauline : Elle m’apporte des savoirs (des connaissances sur les différentes UE), une expérience professionnelle grâce à mes stages obligatoires ainsi que des témoignages d’intervenants compétents.
 
Quelle est, selon vous, la valeur ajoutée de l'école ?
Marjorie : Aftec sollicite des formateurs issus du monde professionnel, ce qui assure des cours de qualité.
 
Comment avez-vous choisi votre entreprise d'accueil (dans le cadre du stage ou de l'alternance) ?
Lucie : Le service dans lequel j’effectue mon stage est un petit service effectuant toutes les tâches en rapport avec les ressources humaines.
Cela me permet d’acquérir de nombreuses compétences de par la variété des situations rencontrées.
Pauline : J’effectue mon stage chez Adecco, en agence de travail temporaire.
Quand j’ai postulé à ce poste, j’avais pour objectif d’acquérir des compétences dans le domaine du recrutement, domaine dans lequel je souhaite travailler plus tard.
 
Comment imaginez-vous « l’après » Aftec - Ipac Bachelor Factory ?
Lucie : J’imagine avoir accès à un poste correspondant à la formation suivie.
Marion : Si j’ai une proposition de contrat de travail sur mon lieu de stage, je l’accepterai. Sinon je tenterai de faire un Master pour approfondir mes connaissances et compétences.
Pauline : Après l'obtention de mon diplôme, je souhaite postuler à différents postes en Ressources Humaines.
 
Quelle est votre fonction aujourd'hui ?
Marjorie : Je continue mes études en Bachelor Ressources Humaines à l’AFTEC en alternance au sein de la Société MANPOWER. J'y occupe le poste de chargée de recrutement. Mes missions sont les suivantes : inscription des intérimaires physique et téléphonique, détection des besoins de recrutement des entreprises, détachement des intérimaires, réalisation des contrats, recrutement…
 
Quels sont, selon vous, les avantages de l’alternance ?
Marjorie : La mise en parallèle des cours et des situations de travail.
C'est un excellent mode d’apprentissage.
Pauline : L’alternance me permet d’avoir un pied dans l’entreprise afin d’appréhender au mieux le domaine des Ressources Humaines. A l’heure actuelle l’expérience est primordiale pour une entreprise qui cherche à recruter un collaborateur.
Propos recueillis en décembre 2014 et janvier 2015.